Que faire si l'enfant ne vous obéit pas

Comme vous le savez, une personne se forme dans l'enfance, d'où les habitudes, les habitudes, le caractère qui influencent l'état de son activité de vie sont transférés à l'âge adulte. La formation et la formation de la personnalité est toujours un processus complexe, qui s'accompagne nécessairement de protestations de l'enfant. Souvent, une forme de protestation des enfants est la désobéissance. Dans de telles situations ou même périodes, de nombreux parents ne savent pas se comporter. Il en résulte un manque de compréhension entre les générations, qui augmente de plus en plus à chaque fois. Pour éviter de telles conséquences tragiques, il est conseillé aux parents de comprendre la raison de la désobéissance de l'enfant. Après tout, la solution à tout problème réside dans ses origines.

L'enfant ne veut-il pas s'habiller? Il ne refuse pas catégoriquement de se laver les mains avant de manger? Lorsque vous parlez: "Non tu ne peux pas" - jette des choses et se met en colère. Tirer la queue d'un chat après ce que tu as dit que ça fait mal. Lèche sur les mains courantes du bus. Et puis votre patience prend fin. Vous avez déjà essayé tout l'arsenal: interdit, plaisanté, distrait - rien n'y fait. Que faire lorsque le code de l'enfant est insupportable et n'obéit pas ...

Raisons de la désobéissance des enfants

Les principaux facteurs qui peuvent provoquer la désobéissance d'un enfant comprennent:

1. Crise de l'âge

Dans la pratique psychologique, il y a plusieurs périodes de crise d'âge: un an,trois ans, préscolaire, adolescent / âge de transition.

Les délais peuvent être définis individuellement. Cependant, c'est précisément avec le début des périodes de crise liées à l'âge que des changements importants se produisent dans la vie de l'enfant. Par exemple, en un an, il commence à marcher activement, apprend l'indépendance et apprend le monde avec intérêt. Les parents, pour des raisons de sécurité des enfants, imposent diverses restrictions au processus passionnant, provoquant ainsi une protestation de l'enfant.

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2. Un grand nombre d'exigences et de restrictions

Les restrictions et les interdictions ne bénéficient au maximum qu'avec modération. Quand tout est toujours interdit à l'enfant, il commence à se rebeller.Si très souvent l'enfant entend «NE PAS», cela lui cause protestation et désobéissance. Pour une expérience, vous pouvez calculer le montant du mot prononcé «pas» pendant une heure ou une journée entière. Si les indicateurs sont hors échelle, il est logique d'étendre les restrictions uniquement aux actions de l'enfant qui pourraient être potentiellement dangereuses pour lui: jouer sur la route, se faire dorloter avec des médicaments ou des appareils électriques. Mais vous ne devez pas constamment interdire au bébé de jouer bruyamment, de courir ou même de lancer des jouets.

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3. Absence de séquence parentale

Lorsque les parents regardent avec leurs doigts les petites farces des enfants, les enfants considèrent que leur comportement est normal. Mais si vous avez soudainement mal à la tête, par exemple, quelques problèmes et problèmes au travail, ce fut une journée difficile, des situations stressantes, votre humeur avait disparu - les parents punissent l'enfant pour un comportement qui a toujours été considéré comme «normal». L'enfant est alors perdu, un conflit survient, résultant d'une mauvaise compréhension du motif de la punition. Avec la récurrence régulière de telles situations, les conflits internes commencent à se manifester dans la désobéissance.

4. Permissivité

Dans ce cas, toutes les restrictions et interdictions ont été levées et l'enfant est absolument libre dans ses actions et ses paroles. Les parents sont heureux, car tout est permis à l'enfant, tout caprice est satisfait et l'enfant signifie «enfance heureuse». Mais une telle idylle continue jusqu'à un certain point, quand il devient clair que l'enfant n'est pas contrôlé. Puis toutes les tentatives pour lui inculquer les normes d'une attitude correcte et respectueuse se résument à sa désobéissance, car l'enfant est déjà gâté.

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5. Incohérence des paroles et des actes

À un niveau subconscient, les enfants répètent toujours le comportement de leurs parents, dont les caractéristiques peuvent être la principale raison de leur désobéissance, comme cela se cache précisément dans le comportement des parents. Un exemple frappant est le non-respect des promesses, en particulier des sanctions, qui se traduit par l'ignorance des paroles des parents en raison d'une attitude frivole à leur égard. Ou vous pouvez promettre de récompenser l'enfant avec quelque chose de bon comportement, mais ne tenez pas vos promesses. Alors pourquoi vous écouter, car vous trichez toujours.

6. Exigences diverses des membres de la famille

Lorsque l'un des parents exige beaucoup de l'enfant, et que l'autre le pitié et le gâte lentement, l'un d'eux perd l'autorité aux yeux des enfants, ce qui s'exprime en l'absence d'obéissance. Un tel conflit est typique entre les parents (maman et papa: par exemple, papa fait des demandes plus sévères à l'enfant, et maman regrette secrètement et sympathise avec le bébé, le dorlote. Papa dans de tels cas, au moins pour des raisons de visibilité, ils peuvent écouter et respecter, mais vous n'avez pas besoin d'écouter maman. Ou vice versa, vous devez obéir à votre mère, elle la protégera toujours, mais pas son père. En tout cas, une mère compatissante intercèdera avec ce tyran.) Et les grands-parents, pour ce dernier dont il est naturel de chouchouter vos petits-enfants bien-aimés et ensuite les parents souffrent.

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7. Manque de respect pour l'enfant

Dans ce cas, la désobéissance est davantage une protestation contre l'injustice et votre manque de respect. Si les parents ne veulent pas écouter et entendre leur enfant, ainsi que leur pleine confiance que l'enfant ne devrait pas avoir sa propre opinion, une protestation s'élève du côté des enfants. Il est important de se rappeler que l'enfant est une personne et qu'il a toujours une opinion sur tout dans le monde, même le plus insignifiant. Dans ce cas, il faut au moins y prêter attention.

8. Conflits familiaux fréquents, divorce

De nombreux parents, lorsqu'ils découvrent leur attitude et résolvent divers problèmes, oublient d'accorder suffisamment d'attention à l'enfant.En règle générale, le passage à un enfant ne se produit en raison de sa lèpre et de ses farces que pour punir, après quoi le bébé passe de nouveau au bord du chemin. Au fil du temps, tout cela conduit à la désobéissance des enfants, comme un moyen d'attirer l'attention.

Quant au divorce, pour chaque enfant, c'est beaucoup de stress. On réalise que maintenant la communication avec les parents se fera séparément. L'enfant commence alors à adopter un comportement de défi, car lorsqu'il fait quelque chose, les parents peuvent combiner leurs efforts éducatifs pendant un certain temps, exactement ce dont il a besoin.

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Consultation vidéo: que faire lorsque l'enfant n'obéit pas

Le professeur de l’école «Rainbow» de l’école Voronezh Waldorf, une enseignante de 7e année Anastasia Vladimirovna Eliseeva, répond aux questions des enseignants.

Comment obéir à l'obéissance

Quelle que soit la cause de la désobéissance infantile, il est important de lutter contre cela. À savoir:

1. Racontez le montant des punitions et des éloges: un enfant doit être puni pour faute grave, mais aussi ne pas oublier les éloges.
2. Regardez comment vous exprimez votre interdiction et comment vous réagissez à l'inconduite de l'enfant. Les cris et la catégorisation doivent être remplacés par un ton calme. Dans le même temps, il ne faut pas avoir honte de ses sentiments, dire franchement à l'enfant ce qui est exactement et dans quelle mesure bouleversé. "Fils, je suis tellement contrarié par ton comportement" - croyez-moi, l'enfant se comportera d'une manière complètement différente.
3. Utilisez des moyens alternatifs pour attirer l'attention des enfants sur vos mots. Lorsqu'un enfant est très passionné par quelque chose, il peut être difficile de le faire passer à autre chose. Alternativement, vous pouvez vous tourner vers lui à voix basse (utilisez également des expressions faciales et des gestes). L'enfant remarquera immédiatement un changement du volume de la parole et commencera à écouter - ce qui s'est passé.
4. N'exprimez pas vos demandes plusieurs fois, parce que l'enfant s'habituera aux répétitions répétées, et la réaction de sa part ne commencera qu'après la répétition, suivie de la punition. Pour éviter cela, il est conseillé de développer un certain algorithme d'actions:le premier avertissement devrait viser à inciter l'enfant à cesser ses actions sans punition; deuxièmement, s'il a ignoré la remarque, la punition devrait suivre; après la punition, il est important d'expliquer à l'enfant la raison pour laquelle il a été puni. Si vous suivez strictement cet algorithme, le subconscient de l'enfant commencera à répondre à la première remarque faite.
5. Lors de la communication avec un enfant, il est nécessaire d'abandonner l'utilisation de la particule "NON": Souvent en réponse à vos demandes:«Ne cours pas», «ne saute pas», «ne crie pas» l'enfant fait le contraire. Ne pensez pas ou ne vous inquiétez pas de ce que votre enfant vous fait malgré, juste la psyché humaine, et en particulier celle de l'enfant, est arrangée de telle manière que les phrases avec une couleur sémantique négative sont omises lors de la perception. Pour cette raison, il est conseillé de remplacer la particule négative par des phrases alternatives.
6. Lorsqu'un enfant proteste sous forme d'hystérie, essayez de vous calmer et de ne pas y prêter attention. Lorsque l'enfant se calme, vous devez à nouveau expliquer votre demande ou vos exigences en utilisant un ton calme. Une excellente option est une manœuvre distrayante lorsque l'attention des enfants se tourne vers une entreprise ou un sujet plus divertissant. Par exemple, un enfant exprime le désir d'un repas indépendant, mais toutes ses tentatives échouent, car la plupart des aliments sont par terre. Lorsque les adultes essaient de nourrir le bébé, les protestations, les crises de colère et la désobéissance commencent. Ensuite, vous pouvez attirer l'attention des enfants sur la poupée, que l'enfant doit nourrir. Il appréciera certainement une telle entreprise. Et à ce moment, il devient possible de nourrir le bébé.
7. Il est toujours nécessaire de respecter la cohérence des mots, des actions, des exigences et des actions. En cas de moindres divergences, l'enfant cessera d'obéir, mais pas à l'abri comme cela peut paraître, mais la cause de la désobéissance sera sa confusion.Pour obtenir le résultat le plus positif, tous les membres de la famille doivent s'entendre sur une séquence.
8. Accordez suffisamment d'attention à votre enfant même s'il est occupé et a des problèmes. Dans ce cas, nous ne parlons pas du temps passé ensemble. Sa qualité est importante. Même une demi-heure de temps intéressant avec un enfant ne peut être comparée à une journée entière de communication improductive.
9. Soyez sympathique à l'enfance en grandissant. C'est la période de croissance qui est le plus souvent à l'origine de la désobéissance. Souvent, sous l'influence d'amis, un adolescent en pleine croissance montre sa «fraîcheur». Ainsi, l'enfant essaie de s'exprimer et de prouver son indépendance. Il est important de choisir la bonne approche de l'enfant sans perdre son autorité et sa confiance en ses yeux.
10. Avec la perte de confiance et de respect des enfants, ils devraient essayer de les rendre. Il n'est pas nécessaire d'entrer dans l'âme d'un enfant, il suffit de s'intéresser à sa vie. Il peut s'avérer que la musique qu'il écoute n'est pas aussi terrible qu'il n'y paraît, mais la littérature moderne peut aussi avoir une profonde signification philosophique. Dans le processus de communication, il deviendra clair qu'il existe de nombreux sujets de conversation, où les goûts et les opinions convergent.

Consultation de Yana Kataeva (spécialiste des relations familiales après la naissance des enfants): que faire si l'enfant n'obéit pas - 5 conseils aux parents. Renforcez la communication avec l'enfant

Comment rétablir le contact avec un enfant

Poursuivant le thème du rapprochement parental avec l'enfant, plusieurs points importants doivent être soulignés, grâce auxquels un contact spirituel et émotionnel mutuel avec l'enfant devient possible:

1. Les relations confidentielles jouent un rôle important dans l'obéissance des enfants, ce qui a pour résultat que l'enfant comprend que les parents sont mieux à même de faire face aux problèmes. L'avantage d'une telle relation par rapport à la soumission inconditionnelle est la capacité du bébé à poser ses questions sans crainte de parents en colère. Les parents, à leur tour, devraient poser des contre-questions, indiquant clairement que le problème peut être résolu de plusieurs manières:«Que pensez-vous qu'il est préférable de faire? Puis-je compter sur votre aide? Puis-je vous demander de faire cela? "
2. Si vous souhaitez interroger votre enfant sur une demande importante, vous ne devez pas oublier le contact physique avec lui: vous pouvez l'embrasser, l'embrasser, le caresser. Ce serait mieux que de lui crier à plusieurs reprises sa demande à travers la pièce. En touchant, l'enfant se rend compte d'un intérêt mutuel pour répondre à la demande. Voici la façon de dire: «Nous sommes ensemble et c'est important. Ce que je vous dis ne rompra pas notre contact. J'espère seulement le renforcer. La chose la plus importante, ce sont les relations, pas le désir de chacun de nous. »
3. Il est tout aussi important de maintenir un contact visuel confidentiel avec l'enfant. En présence de mouvements brusques et d'un regard sévère, l'enfant commence à se défendre sur le subconscient, percevant toute demande comme une menace et le désir d'exercer une pression psychologique sur lui, et il percevra la demande d'accomplir quelque chose comme un ultimatum.
4. Si vous voulez que l'enfant réponde constamment et docilement à vos demandes, il est extrêmement important de le remercier pour la prochaine tâche ou le prochain service rendu. Des paroles de gratitude renforceront la conviction de l’enfant qu’il l’aime et que c’est de lui que dépend l’amélioration des relations. L'encouragement moral et psychologique est apprécié par les enfants beaucoup plus que les bonbons. Ainsi, une incitation au travail est développée. Nous lisons également: comment apprendre à un enfant à travailler
5. L'enfant doit comprendre que dans les cas particulièrement urgents où il existe une menace pour la sécurité de la famille, tous ses membres doivent obéir docilement à l'aîné. Pour ce faire, le bébé doit être conscient des éventuels problèmes. Il devrait expliquer avec délicatesse que le strict respect des règles est la base pour sauver des vies et la santé humaine. Dans ce cas, on peut mentionner la possibilité de négocier avec les parents. Il ne sera pas superflu si l'enfant est convaincu de la disposition des parents à lui obéir dans des cas particuliers.

Situations

Toute théorie doit toujours être appuyée par la pratique.Dans ce cas, pour plus de clarté et une sorte de «guide pratique» pour les parents, il est logique de considérer et d'analyser les situations suivantes:

Situation 1. Quel âge est le plus caractéristique de la désobéissance infantile? Quand le soi-disant point de référence est-il prévu? La désobéissance est-elle typique d'un enfant d'un an?

Dans ce cas, tout est purement individuel et les «points de référence» pour tous peuvent commencer à différentes périodes d'âge. Les enfants peuvent faire des crises de colère même à 2 ans, ou à 5 ans, ils ne savent peut-être pas qu'il existe un tel moyen d'atteindre leur objectif. Une grande influence est exercée par l'environnement et les personnes avec lesquelles le bébé est entouré. Il peut commencer à imiter un héros de bande dessinée ou un pair qui commande des colères aux parents, après quoi il commencera à expérimenter par lui-même. Dans cette situation, la règle principale est le manque d'indulgence des caprices. Sinon, ce comportement deviendra une habitude chez l'enfant.

Une autre chose est lorsque la désobéissance se manifeste dans la validité des exigences du bébé. Par exemple, il exprime le désir de s'habiller de façon indépendante, de mettre des chaussures ou de manger. À la suite de ne pas être autorisé à le faire, l'enfant commence à l'hystérie. Et en cela, il a raison. Mais si la crise a déjà commencé, alors il a raison ou non - toujours faire preuve de fermeté, il devra accepter le fait que rien ne peut être réalisé avec des pleurs et des larmes. Et vous faites une conclusion pour l'avenir et ne provoquez plus de telles situations.

Situation 2. Des problèmes de désobéissance et de comportement peuvent également survenir chez les enfants de 2 ans. Pourquoi la désobéissance à cet âge? Pourquoi l'enfant ne répond-il pas aux demandes des adultes? Et que faire dans de tels cas?

Selon les experts, c'est à l'âge de 2 ans qu'une personnalité commence à se former chez l'enfant, et à l'âge de 3 ans elle est déjà presque entièrement formée. Pour cette raison, à cet âge, comme mentionné ci-dessus, il ne faut pas se livrer à des caprices enfantins, sinon il sera trop tard.

Si nous parlons des règles de comportement parental en cas de crises de colère chez l'enfant, l'essentiel est le calme. L'un des moyens pacifiques de résoudre la situation consiste à attirer l'attention des enfants sur quelque chose de plus intéressant. En l'absence de résultats, le comportement hystérique de l'enfant doit être ignoré. L'essentiel est de rester calme, de ne pas tomber en panne à la manifestation de vos nerfs, et de ne pas "se précipiter" sur lui en panique. Le modèle de votre comportement devrait être quelque chose comme ceci: une fois qu'un scandale s'installe - nous nous tenons fermement, ne réagissons pas, une deuxième fois - il y aura beaucoup moins de larmes et de cris, et il n'y aura peut-être pas de troisième fois du tout.Nous lisons également: comment faire face à l'hystérie infantile: conseils d'un psychologue.

Il convient également de considérer qu'un même enfant peut se comporter différemment avec différents soignants. Il s'agit de la bonne présentation et communication avec le bébé. Vous l'avez peut-être remarqué aussi dans votre famille - l'enfant n'obéit pas à la mère et le nombril est implicite.

Situation 3. Le plus souvent, le pic de désobéissance se produit en 2 à 4 ans et se manifeste par des crises fréquentes, voire régulières. Que faire si un enfant de 2 à 4 ans n'obéit pas?

Cette période d'âge chez les enfants est marquée par un test de force des parents et «sonde» les limites de ce qui est permis. Il est particulièrement important d'être patient avec de l'endurance. Manquer cette période d'éducation signifie se vouer à de gros problèmes à l'avenir avec le caractère, l'obéissance et les relations dans la famille en général.

Par conséquent, relisez les recommandations qui vous ont été données dans les paragraphes précédents et agissez. Vous ne pouvez rien conseiller de nouveau ici.

Vous pouvez également pratiquer des conversations émotionnelles avec un enfant qui, à cet âge, devient raisonnablement intelligent et compréhensif. Parlez avec votre enfant, devenez une autorité pour lui et pas seulement un parent.

Situation 4. À l'âge de 6-7 ans, l'enfant connaît déjà la valeur de ses actions, en distinguant les bons et les mauvais comportements, comment se comporter et comment ne pas se comporter. Cependant, même à cet âge, certains enfants font preuve de désobéissance, uniquement intentionnellement «mauvais». Quelles seront les recommandations pour cet âge?

7 ans est une sorte de jalon, l'un des tournants de la vie d'un enfant, quand il commence à repenser et changer sa vision de la vie. Et cela est dû au début de la période scolaire, lorsque certaines charges et exigences commencent. Dans une telle situation, la louange est la meilleure tactique parentale. De plus, des mots chaleureux doivent être prononcés même en ce qui concerne les moments insignifiants. Cet éloge sera une puissante incitation pour laquelle l'enfant essaiera.

Situation 5. L'enfant méchant est bien conscient de la réaction de tous les membres de la famille à son inconduite. Souvent, vous pouvez rencontrer un manque de compréhension entre eux, lorsqu'un parent gronde et punit, et l'autre regrette ou abolit la punition. Comment construire une éducation familiale appropriée? Comment parvenir à une résolution unanime des conflits?

La principale chose que tous les membres de la famille doivent comprendre est que l'enfant résume toutes les différences qui se présentent en leur faveur. Il est important d'éviter de telles situations, car il y a une forte probabilité de perte d'autorité. La connaissance de l'enfant des réactions de tous les membres de la famille lui permet de les manipuler. Très souvent, les enfants gâtés grandissent dans de telles familles, qui deviennent ensuite incontrôlées.

Pendant l'absence de l'enfant, il est conseillé d'organiser un conseil de famille, où vous devriez discuter de la situation actuelle en détail. Il est important d'arriver à un dénominateur commun dans la question de l'éducation d'un enfant. Il est également nécessaire de prendre en compte certaines astuces auxquelles les enfants ont recours: ils peuvent demander la permission à un adulte, mais pas obtenir le consentement. Puis ils vont immédiatement dans un autre - et il le permet. Le résultat est la désobéissance et le manque de respect pour maman aujourd'hui, ce qui peut entraîner la même chose pour papa demain.

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Vous devez comprendre qu'il n'y a aucune bagatelle sur la question d'élever un enfant. Les enseignants de la maternelle ou du primaire discutent également de toutes les petites choses pour eux-mêmes, à partir de l'endroit où changer les vêtements pour les enfants, comment mettre une table et des chaises dans la leçon, dans laquelle les garçons se lavent les mains, et dans lequel les filles et d'autres questions qui semblent insignifiantes pour l'éducation . Mais cela est nécessaire pour que les enfants ne disent pas par la suite que nous ne sommes pas assis avec Maria Ivanovna ou que nous ne sommes pas avec Natalya Petrovna. Pas besoin de donner aux enfants des raisons de douter de la justesse de nos exigences, car tout commence par de petites choses. Pour commencer, l'enfant ne comprend tout simplement pas pourquoi l'un parle, le fait et l'autre - en quelque sorte. Des questions se posent, puis une protestation, et après la manipulation banale et le refus d'obéir à la toute première situation précaire.

Assurez-vous de faire attention aux astuces des enfants et aux manipulations des adultes. Par exemple, lorsqu'un bébé essaie de s'absenter pour une promenade avec sa mère et reçoit une réponse comme: "Faites d'abord vos devoirs, puis allez vous promener", va ensuite à son père avec la même demande et reçoit la permission. Aujourd’hui, en utilisant la permission imprudente de son père, il fait preuve de désobéissance et de manque de respect envers l’opinion de sa mère, demain il fera aussi contre le père, et après-demain il ne demandera pas du tout aux parents. Arrêtez ces manipulations et provocations de conflits dans la famille. Convenez entre vous que pour toute demande, vous êtes d'abord intéressés par l'avis de l'autre parent, vous pouvez simplement demander à l'enfant: "Et qu'est-ce que papa (/ maman) a dit (/ a)?", puis donnez une réponse. S'il y a des désaccords dans les opinions, discutez-en entre eux, mais c'est nécessaire pour que l'enfant n'entende pas. En général, essayez de ne pas clarifier la relation avec l'enfant, quel que soit le problème de votre différend.

Situation 6. Toutes les mères, sans exception, connaissent la situation où, lorsqu'elles visitent un magasin ensemble, un enfant demande à acheter un autre jouet ou une douceur. Cependant, il n'est pas possible de satisfaire constamment votre enfant bien-aimé avec des achats. Et puis, en refusant d'acheter la chose requise, l'enfant fait une crise de colère et dans l'hystérie tombe au sol dans le magasin. Comment se comporter dans une telle situation?

Il n'y a rien à faire, les enfants veulent toujours quelque chose. Ils veulent le même lièvre que Masha, ou la même machine que Igor - c'est normal. D'accord et nous ne sommes en aucun cas tous et ne sommes pas toujours d'accord pour comprendre que vous ne devriez pas acheter un nouveau sac, car il y a déjà 33 sacs dans le placard à la maison, et dans un état normal. Que voulez-vous d'un enfant?! Alors il est tombé par terre, sanglotant et criant, faisant le tour du magasin - c'est une situation tout à fait normale, naturelle, je dirais. Et si vous achetez tout ce que l'enfant demande maintenant - demain, il fera de même et obtiendra à nouveau ce qu'il veut. Pourquoi pas? Une fois que c'est arrivé!

Le désir de l'enfant pour des bonbons ou un nouveau jouet est tout à fait naturel: il n'en a pas ou il n'en a pas encore essayé. Vous ne pouvez pas lui en vouloir. Le meilleur moyen de sortir de la situation est d'avoir une conversation sérieuse et calme avec l'enfant avant de se rendre au magasin, dans laquelle il est important pour lui d'expliquer clairement la raison de l'impossibilité d'acheter, mais ne lispez pas, comme avec un adulte: «Il n'y a pas d'argent, il faut quand même gagner de l'argent. Et vous avez déjà acheté un jouet ce mois-ci »- et ainsi de suite, calmement et en toute confiance. Si la conversation n'a pas abouti aux résultats escomptés et que l'enfant a encore fait une crise de colère dans le magasin, ramassez-le et ramenez-le tranquillement à la maison, sans crier ni fessée. Ne faites pas attention aux passants, croyez-moi, ils voient ça assez souvent, vous ne les surprendrez en aucune façon.

Situation 7. Les demandes, les persuasions, les arguments et les arguments n'ont pas l'effet souhaité sur l'enfant - l'enfant n'obéit pas. Quelle est la raison de ce comportement? Quelles erreurs les parents font-ils?

Il y a trois erreurs les plus importantes, les plus courantes et les plus pernicieuses des parents:

1. Aller avec l'enfant.Oui, bien sûr, chaque enfant est une personne, mais vous devez comprendre les limites de ce qui est autorisé, vous devez être conscient de ce que cela entraînera plus tard.
2. Discussion sur divers aspects et comportements d'un enfant.Si vous discutez, alors il y a des désaccords - l'enfant ne devrait même pas les soupçonner!
3. Criez le bébé. Un cri n'est pas seulement stupide, laid, un mauvais modèle, mais il est également inefficace.

Désobéissance et punition

En matière de punition pour faute, il est important de considérer deux règles:

1. Il est nécessaire de rendre compte de leurs actions, de leurs causes, et de penser également aux pensées de l'enfant, qui devrait ressentir la justice de la punition. Dans des situations similaires, vous ne pouvez pas agir de deux manières, en vous appuyant uniquement sur l'humeur ou d'autres facteurs (par exemple, aujourd'hui, vous êtes de bonne humeur et vous n'avez pas prêté attention à l'inconduite du bébé, et demain vous avez été puni pour la même inconduite).
2. Dans les situations graves, l'enfant doit comprendre clairement la validité des actions des parents. Si le bébé n'obéit pas - la punition est un résultat tout à fait naturel. Ce sera exactement comme l'ont dit les parents (de préférence sur un ton calme).

Si l'enfant n'obéit pas, la punition pour lui devrait être naturelle. C'est précisément cela qui est important d'enseigner la miette - la compréhension du caractère naturel et inévitable de la punition. La vie elle-même en montre des exemples. En allant au feu rouge, vous pouvez avoir un accident. Sans porter de chapeau, vous pouvez attraper froid. Se faire plaisir avec une tasse de thé, vous pouvez renverser chaud sur vous-même et ainsi de suite.

Avant de punir un enfant, il est nécessaire d'expliquer de quoi il se fait dorloter. Vous devez parler sur un ton calme et confiant, sans objections persistantes.
Une éducation appropriée et la formation du caractère de l'enfant sont possibles sous réserve des principes suivants:

• Le but principal de la punition est de priver l'enfant d'un plaisir qui lui tient à cœur;
• La restriction doit être mise en œuvre immédiatement et non reportée à une date ultérieure. Chez les enfants, le sens du temps se développe différemment, et la punition, exécutée après une certaine période, peut provoquer la confusion chez l'enfant, à la suite de laquelle l'insulte est susceptible d'être hébergée;
• Le mot «non» doit être catégorique et ferme, ne pas supporter de compromis, de persuasions et de discussions, pas besoin de négocier avec l'enfant et d'annuler sa décision. Si vous allez à l'occasion et succombez à la persuasion, vous pouvez devenir l'objet de manipulation.Par conséquent, réfléchissez avant de prendre des décisions, afin de ne pas regretter ce qui a été dit et de ne pas changer vos décisions en cours de route. Les enfants comprennent immédiatement qu'il est possible de négocier avec vous, et vous ne remarquerez alors pas vous-même comment votre enfant commence à établir un cadre de comportement, et pas vous.
• Quelle que soit la faute, ne lève pas la main vers l'enfant. Ainsi, il est possible de provoquer l'agression et les complexes;
• Vous devez abandonner le contrôle externe constant de l'enfant. Cela se heurte au manque d'indépendance, de détermination et de responsabilité des enfants, ces enfants sont facilement accessibles aux opinions des autres et ne sont pas en mesure de prendre des décisions sérieuses. Tout cela se développe ensuite à l'âge adulte (parmi les toxicomanes, la plupart ne sont que de telles personnes, celles qui se prêtent facilement à l'influence des autres).

L'enfant ne devrait pas être puni dans les cas suivants:

• en mangeant;
• pendant la période de maladie;
• après ou avant le coucher;
• lorsque l'enfant est très passionné par le jeu indépendant;
• lorsque l'enfant a voulu vous plaire ou vous aider, mais qu'il a accidentellement ruiné quelque chose;
• CATÉGORIQUEMENT, il n'est pas nécessaire de punir l'enfant avec des étrangers.

Soyez logique, cohérent dans votre comportement lorsque vous punissez un enfant, cela ne devrait pas changer en fonction de votre humeur. L'enfant doit clairement comprendre s'il commet cette infraction - il sera puni. Si vous vous êtes trompé de comportement aujourd'hui parce que vous êtes de bonne humeur et que vous ne voulez pas le gâcher, préparez-vous à ce qu'il recommence demain. Mais si cette fois vous le punissez, alors il ne comprendra pas ce qui s'est passé, pourquoi vous faites cela, ou tirera les mauvaises conclusions. C'est pourquoi les enfants n'admettent souvent pas ce qu'ils ont fait, attendant une occasion où vous serez de bonne humeur pour éviter la punition. N'enseignez pas aux enfants à vous mentir.

Nous lisons des documents sur le thème des punitions:

Punir ou ne pas punir un enfant pour mauvaise conduite accidentelle – https://kid.htgetrid.com/psihologiya-detey/nakazyivat-ili-net-rebenka-za-sluchaynyie-prostupki.html

8 façons loyales de punir les enfants. Comment punir un enfant pour désobéissance – https://kid.htgetrid.com/psihologiya-detey/8-loyalnyih-sposobov-nakazaniya-detey-kak-pravilno-nakazyivat-detey-za-neposlushanie.html

Battre ou ne pas battre un enfant - les conséquences des châtiments corporels infligés aux enfants – https://kid.htgetrid.com/psihologiya-detey/bit-ili-ne-bit-rebenka-posledstviya-fizicheskogo-nakazaniya-detey.html

Pourquoi vous ne pouvez pas donner la fessée à un enfant - 6 raisons – https://kid.htgetrid.com/psihologiya-detey/pochemu-nelzya-shlepat-rebenka-6-prichin.html

Caprice puéril ou égoïsme: en quoi l'un est-il différent de l'autre? – https://kid.htgetrid.com/psihologiya-detey/detskiy-kapriz-ili-egoizm-chem-odno-otlichaetsya-ot-drugogo.html

Vidéo: Comment punir les enfants pour désobéissance

8 erreurs dans l'éducation

Souvent, les causes de la désobéissance des enfants sont certaines erreurs parentales:

1. Absence de contact visuel. Quand un enfant est passionné (jouer à des jeux ou regarder des dessins animés), son attention est difficile à changer. Cependant, regarder dans les yeux d'un enfant et exprimer une demande peut faire des merveilles.
2. Vous définissez des tâches difficiles pour l'enfant. Vous ne devez pas demander à l'enfant d'effectuer plusieurs tâches à la fois. Ainsi, il ne fera que se confondre et à la fin ne fera rien. Il est conseillé de diviser votre demande en étapes simples et petites.
3. Vous articulez vaguement vos pensées.Voyant que l'enfant se livre (jeter des jouets), ne lui demandez pas combien de temps il va jeter ses jouets! L'enfant comprendra tout littéralement, il est donc préférable de dire, par exemple, comme ceci: "Arrêtez de jeter des jouets!"
4. Tu parles beaucoup. Toutes les exigences doivent être concises en utilisant des phrases simples et courtes. Si l'enfant se laisse aller, vous devez dire «Cela ne peut pas être fait!», Puis essayez de distraire l'enfant.
5. N'élève pas la voix. Un cri ne fera qu'aggraver la situation. L'enfant continuera à skod secrètement par peur de crier. Soyez cohérent dans vos décisions et comportez-vous calmement!
6. Vous attendez une réaction rapide. Les enfants de moins de 6 ans prennent du temps pour réaliser (afin d'entendre et de répondre à la demande) et terminer la tâche.
7. Vous répétez plusieurs fois comme un perroquet. L'enfant doit acquérir indépendamment certaines compétences. Et la répétition constante de ce qu'il doit faire le transformera en une personne sans initiative. Les enfants ont une mémoire visuelle bien développée, donc diverses images de rappel vous aideront beaucoup!
8. Demande et refus simultanés. N'utilisez pas la particule «pas».Les demandes avec le préfixe «non» affectent au contraire l'enfant, car la perception «non» du bébé manque. Il est préférable de le remplacer par des expressions alternatives. Par exemple: "Ne pas entrer dans une flaque d'eau" sur les options alternatives, par exemple: "Allons faire le tour de cette flaque d'eau sur l'herbe!"

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Histoires

La personnalité de l'enfant, ainsi que le degré d'obéissance, sont déterminés par le style d'éducation pratiqué dans la famille:

1. Autoritaire (suppression active de la volonté de l'enfant). Elle consiste à supprimer la volonté des enfants, lorsque l'enfant ne pense et ne pense qu'en fonction des souhaits des parents. L'enfant est littéralement «formé»
2. Démocratique. Il suppose que l'enfant a le droit de vote, ainsi que son implication dans diverses activités liées à la famille. bien que certaines choses ne soient pas discutées, car elles ne font pas partie de la responsabilité de l'enfant, le principal format de communication entre le parent et l'enfant n'est pas des ordres, mais une rencontre.
3. Mixte. Il se caractérise par la méthode «carotte et bâton». les parents resserrent parfois les noix et parfois desserrent. Les enfants s'y adaptent, vivent leur vie sans soucis du «fouet» au «fouet».Nous lisons également:comment élever des enfants: carotte ou bâton?

Les histoires suivantes sont le résultat de certains de ces styles parentaux:

1. Trop intelligent

Denis, 7 ans, est l'enfant moyen de la famille. Les parents s'inquiètent de l'absence de ses réactions à leurs demandes. Des problèmes d'audition étaient suspectés, mais tout s'est avéré normal. Denis est la raison de la séance intempestive de tous les membres de la famille à la table, de la brocante le matin, et aussi des défunts frères et sœurs à l'école. Même en parlant strictement et fort, il peut calmement gérer le sien. Les autorités n'agissent pas sur lui. Jamais sur son visage n'a vu d'émotions fortes, ni peur, ni joie. Les parents ont commencé à le soupçonner de troubles internes graves liés à des problèmes mentaux et neurologiques.

Selon les résultats des enquêtes, il s'est avéré que Denis possède une intelligence suffisamment élevée et vive. Il a soutenu avec enthousiasme les conversations, a dit que les échecs étaient son jeu préféré, et avec plaisir et a raisonnablement dit qu'il avait lu récemment. La conversation a duré plus de deux heures, pendant lesquelles Denis était non seulement pas fatigué, mais son intérêt pour tout grandissait. La désobéissance était le résultat d'une activité cérébrale élevée et d'une concentration sur la résolution de problèmes plus complexes en interne. Les parents de Denisov étaient bouleversés, car le seul désir était "Pour qu'il écoute et réponde à mes demandes avec les autres enfants."

Commentaire du spécialiste: Les enfants très intelligents s'ennuient simplement avec une corvée. Ils peuvent passer des heures à se pencher sur une tâche difficile, une tâche que les parents ne sont pas toujours à la hauteur. Objectivement, ils cherchent à occuper une position «spéciale», ce qui agace les membres de la famille et contredit le principe d'égalité. Ils ne répondent pas à l’augmentation du ton s’ils voient que la situation ne vaut pas la peine et que les parents essaient juste de «pousser».

2. Trop petit

Lena est une fillette de 3 ans dont les parents soupçonnent que leur fille ne pense pas bien, car lorsqu'elle essaie d'expliquer quoi et comment le faire, elle ne comprend rien. Mais elle connaît toujours une séquence d'actions claire lorsqu'elle s'habille et se déshabille. Lorsque le psychologue a entendu une longue instruction en plusieurs étapes, elle s'est exclamée: "Arrêtez! Comment bébé se souvient-il de tout cela? Elle ne comprend pas pourquoi vous lui dites cela, si vous avez juste besoin de faire tout ce dont vous avez besoin avec elle. Pas à pas!"

Commentaire du spécialiste: Ils ne peuvent pas écouter le bébé, c'est-à-dire ne pas répondre aux exigences, simplement parce qu'ils ne sont pas en mesure de se souvenir et de comprendre les instructions. À l'âge de 6 ans, il vaut mieux montrer comment faire quoi, et il faut s'entraîner avec son enfant. Les enfants n'ont pas encore formé d'attention arbitraire et de mémoire verbale, mais ils se souviennent de la séquence des opérations.

L'appel à l'enfant doit correspondre à son niveau de compréhension et de confiance. Ne criez pas à travers la pièce, il peut tout simplement ne pas comprendre que c'est à lui qu'on demande quelque chose. Ne pas utiliser de crush "Pourquoi tu ne l'as pas encore fait?". Pensez-vous vraiment que l'enfant va s'asseoir sur la chaise haute et vous expliquer pourquoi il lui est difficile de comprendre et de répondre à certaines demandes?

3. Trop obéissant

Olya, 7 ans, a toujours été admirée par de vieux voisins et des femmes familières, s'émerveillant de son obéissance et de son laconicisme. Mais les parents craignent qu'il ne soit jamais clair ce que la fille pense, ce qu'elle veut. Si vous lui demandez quelque chose, elle le fera en silence. Ne couine jamais. Maman ne l'a jamais entendue rire, rire, sauf pendant un an et demi ... C'était surprenant que même l'injustice des adultes n'ait pas provoqué de résistance, de désaccord. Un voisin est jaloux: "Un miracle, pas un enfant!". Et maman n'est pas à l'aise: "D'une manière ou d'une autre, elle est malheureuse grandit. C’est comme si j’avais tout supporté à l’avance ... Le psychologue pour enfants est arrivé à la conclusion qu'il y avait des raisons de s'inquiéter, mais qu'il existe des moyens de «faire revivre» l'enfant.

Un commentaire: Un enfant avec des émotions supprimées a besoin de rééducation. Il faut lui rappeler comment vivre ces émotions, comment se réjouir, être en colère, être surpris. Pour ce faire, vous avez besoin de:

• Pour que les adultes ne rentrent pas chez eux fronçant les sourcils et tendus, comme s'ils attendaient la fin du monde. Si un enfant ne voit pas comment les adultes rient, comment apprendre cela? Après tout, l'enfant copie simplement les premières réactions chez l'adulte;
• Il devrait y avoir une attitude loyale envers le bruit des enfants. Les enfants ne pensent jamais au mal, ils ne réussissent tout simplement pas. Si les membres de la famille éteignent complètement les sentiments d’un enfant, comment peut-il résister à un groupe d’adultes?
• Il ne devrait pas y avoir de tabou sur l'expression des émotions négatives - colère, ressentiment, irritation, pleurs ... Dans certaines circonstances, il s'agit d'un comportement absolument adéquat. Il existe même des jeux de bandes dessinées pour le développement de l'expression négative: un enfant est habillé d'un costume de caractère négatif, et en son nom il peut se comporter arbitrairement sans frein. Si vous vous inscrivez, l'enfant sera complètement libéré de la peur d'être puni. Il y a aussi un jeu de «injures» amusantes: tous les participants lancent une balle en cercle, avec des noms inhabituels pour celui à qui la balle vole: «Tu es un chou! Tu es un chapeau! Tu es une brique! " Il s'agit d'un jeu de rapprochement psychologique. En effet, si en présence d'une autre personne nous pouvons montrer de fortes émotions négatives, cela signifie qu'il ne nous est pas indifférent.

Expérience des parents

Voici l'expérience des parents et des psychologues pour enfants, que faire à une mère si son enfant n'obéit pas:

Velta, fils de 2 ans:

«Si le fils ne tient pas compte de mes interdictions, je le prends par la main et le mets sur une chaise, où j'explique strictement les raisons de l'interdiction. Parfois, il casse quelque chose. Ensuite, je lui demande de s'excuser pour la chose cassée et le regrette. Quand cela devient très bruyant, j'utilise une voix mystérieuse, à laquelle je dis que "le silence est nécessaire". En même temps, je mets un doigt sur ses lèvres. Et si le petit fils s'enfuit, les sons stricts: "Feu rouge!"

Soit dit en passant, le fils aime beaucoup les trains, et s'il ne veut pas faire quelque chose, je dis que les conducteurs de moteurs font toujours cela. Cela fonctionne parfaitement 🙂

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Maria, fille de 4 ans:

«Quand la fille ne veut pas aller quelque part et qu'il me reste du temps, on s'arrête. Bientôt, elle se lasse de rester debout et elle continue. Et si je n'ai pas le temps, alors j'explique ce que le retard est lourd de "Nous n'avons pas le temps de rentrer à temps, donc il n'y aura pas de temps pour un conte de fées." Si c'est un cas extrême, et si je me suis déjà mis en colère, je suis aussi une personne, je peux crier, en vous rappelant l'angle dans lequel nous nous sommes tenus plusieurs fois. Après cela, ce n'est qu'un rappel. »

Elena, fille de 3 ans

«J'essaie de reconsidérer la situation, c'est-à-dire que je me pose la question:« Est-ce vraiment important en ce moment, est-ce exactement ce que l'enfant doit obtenir? » Quand je comprends que tout cesse relativement et intérieurement d'être en colère. La fille sent immédiatement qu'il n'y a rien à résister, qu'elle est libre de choisir. Et, comme par magie, il décide immédiatement de faire ce qui lui a été demandé.

Si je vois qu'elle joue juste "Je ne veux pas", je joue aussi: "Tu veux t'habiller? Ensuite, il y aura une drôle de fille nue, et dans la rue nue très mal à l'aise. "

Lorsque je ne suis pas moi-même équilibré, je rassemble les demandes et les exigences au minimum, car le bébé est alors également en dehors de toutes sortes. »

Conseils de psychologues

N'ignorez pas non plus les recommandations des spécialistes / psychologues:

Alfiya Rakhmanova, psychothérapeute, membre de l'Association of Dance Motion Therapy, mère:

«La désobéissance des enfants est tout à fait normale. L'enfant entraîne donc sa volonté, sa persévérance, sa capacité à défendre ses intérêts personnels. Il est important de jouer avec les enfants! Améliorer l'imagination et vivre de véritables émotions sont très utiles pour les enfants. »

Evgeny Smolensky, psychologue pour enfants et famille, papa:

«Pour que le bébé vous entende, vous devez lui parler au même niveau (accroupi), regarder dans les yeux, tenir votre main. Des étreintes et des baisers puissants aident également - un enfant rare ne répondra pas aux caresses des parents.

Si un enfant qui pleure tombe par terre, n'essayez pas de l'exhorter et faites appel à la conscience. Il est préférable de donner l'occasion de se vautrer. La tâche du parent n'est pas d'aller loin, de se tenir debout, de se taire et d'attendre. Après un certain temps, voyant que le rugissement ne fonctionne pas, l'enfant se lèvera et vous aurez l'occasion de discuter de tout ce qui s'est passé avec lui. »

Valentina Tyurina, psychologue scolaire au Scientist Cat Center:

«Il doit y avoir une distinction claire entre ce qui est autorisé et ce qui est interdit. En outre, les principales interdictions ne devraient pas changer (ce qui peut et ne peut pas être interdit à un enfant) Ensuite, indiquez quelles seront les conséquences de la désobéissance et respectez ce qui a été dit. Introduisez un système de récompense pour un bon comportement. Et pensez aussi aux causes des mauvais comportements: a-t-il des problèmes (à la maternelle, à l'école, à la santé)? »

Anna Pugacheva, psychologue pour enfants, mère

«Voyez s'il y a un désaccord dans la famille. Par exemple, maman vous permet de jouer dans le bac à sable, et papa interdit. Maman dit que tu dois traverser la route vers un feu vert, puis elle passe au rouge. Dans de tels cas, l'enfant ne comprend pas qui écouter, sur quelle opinion se fier. »

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Comment communiquer avec un enfant méchant est l'histoire d'une famille. Que doivent faire les parents lorsqu'un bébé de 1,5 an ne leur obéit pas et y a-t-il quelque chose à faire? -https://kid.htgetrid.com/psihologiya-detey/kak-obshhatsya-s-neposlushnyim-rebyonkom-istoriya-odnoy-semi.html

Vidéo: Que faire lorsque l'enfant ne vous obéit pas

Souvent, nous pensons que le comportement est l'enfant. C'est-à-dire: c'est lui qui devient de mauvaise humeur, têtu, incontrôlable. Bien qu'en fait, il se comporte simplement d'une certaine manière. Par exemple, il n'écoute pas toujours ou n'écoute pas immédiatement. Parfois, il insiste seul et souvent dans un endroit inconfortable pour les parents. Parfois, il crie quand il veut le silence. Que faire lorsque l'enfant ne vous obéit pas? Et quelle en est la raison?

Conseils du psychologue aux parents. Pourquoi l'enfant n'obéit pas

Irina Kovaleva, psychologue familiale, formatrice en motivation avec 20 ans d'expérience, explique comment surmonter les difficultés de communication avec son enfant.